Les vacances, phénomène récent dans notre société industrialisée, est le signe le plus éloquent de la décadence des masses laborieuses.
Le repos traditionnel de la gueusaille, sain au départ (et même saint dirais-je), a été remplacé par sa migration obligatoire -et totalement abrutissante- vers les stations balnéaires, avec tout ce que cela suppose en termes d'agitations consuméristes, de centres d'intérêts futiles, onéreux, de comportements dangereux aux conséquences funestes (drames de la route, noyades, insolations, cancers de la peau, indigestions, moeurs alimentaires, sexuelles et culturelles déréglées, SIDA, prises d'alcool, etc.).
Autrefois le travailleur en repos, faute de finances à dilapider ou de tentations matérialistes, jardinait paisiblement, méditait, marchait, contemplait le ciel étoilé : il vivait au rythme virgilien des cloches de son village. S'il était en ville, il cherchait l'ivresse dans la frénésie collective des ragots. Et s'il partait à la mer, c'était une découverte. Un voyage. Une aventure. Un rêve.
Une quasi initiation.
De nos jours on ne vit plus le temps qui passe : on consomme du temps libre. On ne respire plus l'air des saisons : on paye pour jouir du soleil, de l'eau, du ciel bleu.
Aujourd'hui le travailleur en repos se dope au scooter des mers, s'éparpille entre sorbets industriels, frites pré-cuites et derniers films sortis dans les salles de cinéma, vit, dort, copule, boit, excrète, dégueule dans des campings, bêle avec ses congénères sur le sable brûlant tout en exposant publiquement sa nudité (qu'elle soit glorieuse ou avariée) au feu du ciel, lit des "romans d'été" ineptes devant la face de Râ, tue le temps (car le vacancier s'ennuie malgré tout) en visitant des potiers, des musées grotesques (musées des verres à bière, du cendrier, etc.), saute en parachute, à l'élastique, fait du vélo-cross autour du camping, bref il ne sait plus quoi inventer pour se distraire, remplir ses jours, "passer l'été".
Et comme si cela ne suffisait pas à son bonheur de caniche dégénéré, grâce à la parabole portative débitrice de bouquets de chaînes de télévision il peut meubler les heures creuses passées au camping à zapper.
Mais surtout, en toile de fond obsessionnelle, le vacancier s'ingénie à provoquer au maximum la pigmentation de sa peau que dévore année après année l'astre mortel... Revenir bronzé des vacances, tel est le leitmotiv de l'estivant. C'est la preuve par l'éphémère que ses vacances ont été réussies car les vacances c'est comme un examen à passer après une année de travail : il faut les "réussir". Le bronzage valide les efforts du touriste, justifie ses dépenses, donne même un sens à son année de labeur !
Le bronzage est le salaire de l'abruti.
Le comble : les vacances sont sources de fatigue, voire d'épuisement. Et au retour des vacances il faut encore se reposer des vacances !
Avec cet état d'esprit est apparue la culture de l'insignifiance : ne pas pouvoir se payer un séjour à la mer est considéré comme une injustice sociale. Certains en ont même honte car ils se croient pauvres.
Dans les pays industrialisés, pour toute une catégorie socio-culturelle le bain de mer et l'exposition aux rayons ardents du soleil entre juillet et août sont devenus la norme. Un "droit au bonheur" élémentaire fortement imposé par la pression sociale. Il existe même des associations charitables dont le but est d'envoyer des familles "indigentes" en vacances au bord de la mer...
Après avoir intégré la notion aliénante de travail obligatoire afin de plaire aux dieux républicains de son époque (dieux parfaitement démocratiques dans la gestion de l'imbécillité collective), le citoyen de nos latitudes a fini par se sentir obligé de croire aux vertus sanitaires et sociales du sel marin et de la brûlure solaire pour s'accomplir, pense-t-il.
Il serait temps de criminaliser la mentalité de ces bovins générant tant de fumée et de vent sous le soleil !
Le repos traditionnel de la gueusaille, sain au départ (et même saint dirais-je), a été remplacé par sa migration obligatoire -et totalement abrutissante- vers les stations balnéaires, avec tout ce que cela suppose en termes d'agitations consuméristes, de centres d'intérêts futiles, onéreux, de comportements dangereux aux conséquences funestes (drames de la route, noyades, insolations, cancers de la peau, indigestions, moeurs alimentaires, sexuelles et culturelles déréglées, SIDA, prises d'alcool, etc.).
Autrefois le travailleur en repos, faute de finances à dilapider ou de tentations matérialistes, jardinait paisiblement, méditait, marchait, contemplait le ciel étoilé : il vivait au rythme virgilien des cloches de son village. S'il était en ville, il cherchait l'ivresse dans la frénésie collective des ragots. Et s'il partait à la mer, c'était une découverte. Un voyage. Une aventure. Un rêve.
Une quasi initiation.
De nos jours on ne vit plus le temps qui passe : on consomme du temps libre. On ne respire plus l'air des saisons : on paye pour jouir du soleil, de l'eau, du ciel bleu.
Aujourd'hui le travailleur en repos se dope au scooter des mers, s'éparpille entre sorbets industriels, frites pré-cuites et derniers films sortis dans les salles de cinéma, vit, dort, copule, boit, excrète, dégueule dans des campings, bêle avec ses congénères sur le sable brûlant tout en exposant publiquement sa nudité (qu'elle soit glorieuse ou avariée) au feu du ciel, lit des "romans d'été" ineptes devant la face de Râ, tue le temps (car le vacancier s'ennuie malgré tout) en visitant des potiers, des musées grotesques (musées des verres à bière, du cendrier, etc.), saute en parachute, à l'élastique, fait du vélo-cross autour du camping, bref il ne sait plus quoi inventer pour se distraire, remplir ses jours, "passer l'été".
Et comme si cela ne suffisait pas à son bonheur de caniche dégénéré, grâce à la parabole portative débitrice de bouquets de chaînes de télévision il peut meubler les heures creuses passées au camping à zapper.
Mais surtout, en toile de fond obsessionnelle, le vacancier s'ingénie à provoquer au maximum la pigmentation de sa peau que dévore année après année l'astre mortel... Revenir bronzé des vacances, tel est le leitmotiv de l'estivant. C'est la preuve par l'éphémère que ses vacances ont été réussies car les vacances c'est comme un examen à passer après une année de travail : il faut les "réussir". Le bronzage valide les efforts du touriste, justifie ses dépenses, donne même un sens à son année de labeur !
Le bronzage est le salaire de l'abruti.
Le comble : les vacances sont sources de fatigue, voire d'épuisement. Et au retour des vacances il faut encore se reposer des vacances !
Avec cet état d'esprit est apparue la culture de l'insignifiance : ne pas pouvoir se payer un séjour à la mer est considéré comme une injustice sociale. Certains en ont même honte car ils se croient pauvres.
Dans les pays industrialisés, pour toute une catégorie socio-culturelle le bain de mer et l'exposition aux rayons ardents du soleil entre juillet et août sont devenus la norme. Un "droit au bonheur" élémentaire fortement imposé par la pression sociale. Il existe même des associations charitables dont le but est d'envoyer des familles "indigentes" en vacances au bord de la mer...
Après avoir intégré la notion aliénante de travail obligatoire afin de plaire aux dieux républicains de son époque (dieux parfaitement démocratiques dans la gestion de l'imbécillité collective), le citoyen de nos latitudes a fini par se sentir obligé de croire aux vertus sanitaires et sociales du sel marin et de la brûlure solaire pour s'accomplir, pense-t-il.
Il serait temps de criminaliser la mentalité de ces bovins générant tant de fumée et de vent sous le soleil !
Très bien vu ! belle caricature ! j'en connais parmi mes proches : Monsieur s'est payé un stage de stress et d'adrénaline (stage de parachutisme) pendant que madame est partie perfectionner sa maîtrise de soi et sa gestion du stress (stage d'arts martiaux). Remarquez qu'ils sont complémentaires, Madame Maîtrise de soi pourra ainsi calmer Monsieur Stress quand il reviendra de son stage, pour une bonne rentrée zen ! Car les vacances c'est fini, il va bientôt falloir nous faire un textounet sur "La Rentrée", hein Rafounet adorééé ? Car ça aussi c'est un concept, qui va bien monopoliser concitoyens, hommes politiques et médias pendant tout ce temps de "La Rentrée".
RépondreSupprimerUn guide australien m'a dit hier qu'il n'y avait pas de mot pour exprimer le retour de vacances chez eux, que cette expression "La Rentrée" était typiquement française.
Mais cette année, La Rentrée coïncide avec le Rame Adam, ce qui nous fera une rentrée exotique typiquement française (perso je suis effarée de cette publicité aperçue sur quelques chaînes de TV sur les plats hallal. On veut maintenant nous vendre le Ramadan comme on a voulu nous vendre Halloween, consommation de tout, sur tout, surtout. Comme si on n'avait pas assez de Noël, de la fête des mère, des pères, des grand-mères, des secrétaires, des anniversaires, pour s'obliger à fêter des trucs dont on se fout complètement, pour se forcer à se conformer aux coutumes de la fête en question, même si ça fait chier... je ne fête ni Noël ni les anniversaires (sauf ceux de mes trois nièces), je préfère les fêtes spontanées, les cadeaux qu'on offre quand on en a envie, pas quand c'est la période, ni parce que "ça se fait".
Je voulais donc boycotter tout ce qui se rapport au Ramadan, mais je peux pas, c'est trop bon les dattes fraîches, les baklavas et les makrouds tout dégoulinants de miel. Ne pas confondre consommation avec gourmandise.
J'ai oublié la St Valentin comme fête "obligée", ou l'art de rendre coupable monsieur qui n'y a pas pensé, et de rendre madame furieuse que monsieur n'y ait pas pensé. Une tuerie pour les ménages, la St Valentin !
RépondreSupprimerà noter que pour maintenir la paix dans le ménage, c'est toujours l'homme qui doit faire un cadeau à la femme à cette occasion, on se demande pourquoi. A moins que ça ne soit pour obtenir en retour la petite gâterie de la St Valentin que madame a trop mal à la tête d'habitude pour prodiguer, mais que là, comme c'est la fête et que monsieur a acheté des fleurs et du champagne, faut bien assurer un minimum... Joie d'offrir, joie de recevoir.
Pour en revenir au sujet de la décadence des masses (dont les fêtes sont une bonne illustration aussi, donc je ne me suis pas tant écartée du sujet), je considère ne pas faire partie du mouvement. En effet j'ai passé des vacances gratuites (nonobstant quelque participation financière aux frais de nourriture) dans une maison près d'un lac aux environs de Bordeaux. Dans un grand jardin où j'ai pris mon pied à arracher tout ce qui traînait de mauvaises herbes et de lichens envahissants. J'ai bien bossé car la personne qui m'accueillait est handicapée sévère (HTAP : hypertension artérielle des poumons) et ne peut pas se baisser et arracher les herbes, c'est trop brutal pour ses capacités. Et son mari n'a pas le temps, il bosse, fait les repas, le ménage, le bricolage (un homme en or). Aussi le jardin était entièrement à défricher, et je me suis donnée pour objectif de le faire pendant mon séjour. On a découvert des jeunes lilas emprisonnés sous des kilos de lierre, des colchiques d'automne étouffés sous une prolifération de belles de nuit, qui se sont épanouies sitôt délivrées, des muguets, des primevères, invisibles sous les mauvaises herbes, qui fleuriront sans doute au printemps prochain, on a arrosé abondamment les tomates qui restaient petites et vertes, en quelques jours elles ont grossi et pris des couleurs, etc... Je suis contente de mes vacances, j'ai pris plaisir à cette tâche, moi qui suis parisienne d'adoption je n'ai pas si souvent l'occasion d'être en contact avec la terre, et j'ai fait plaisir à mes amis qui m'ont accueillie si généreusement (j'avais le sous-sol à ma disposition, avec chambre donnant sur le jardin et salle de bains particulière, logée et nourrie, pension complète). Bien sûr j'ai un peu bronzé, mais ce n'est pas de ça que je tire ma satisfaction. J'ai aussi été à la plage deux fois, Lacanau est à quelques dizaines de kms. La mer y est bleue/verte, l'eau est claire et bonne, la plage est belle et propre, le sable très agréable... que du bonheur ! mais on y allait tôt le matin, à 8h30 quand les vacanciers étaient encore au lit et que le soleil ne chauffait pas trop. On s'installait au ras des flots et on jouait au "château-fort", pour défendre notre "île", encombrée de parasols, de serviettes et de sacs de plage, en construisant des remparts, des digues et des tranchées pour se protéger de l'assaut des vagues de la marée montante. Pendant que Monsieur Banquier faisait des remparts, Madame Pipi(moi) creusait des tranchées pour l'écoulement des eaux, Madame Commandant de Police à Bauvau restait allongée sur sa serviette pour coordonner les effectifs et Madame Handicapée commentait tranquillement à l'ombre de son parasol. On s'est bien amusés. Marrant comme les rôles se sont distribués spontanément en fonction des rôles sociaux de chacun. Même en vacances quand on oublie tout, on reste conditionné...
RépondreSupprimerA propos de fête, hier c'était l'anniversaire de feu Michaël Jackson et les médias en ont parlé même s'il est mort, et aujourd'hui c'est mon anniversaire et personne n'en parle même si je suis plus vivante que Michaël Jackson (jusqu'à ce jour... je ne dis pas que demain je ne vais pas mourir d'une crise cardiaque. Aussi si vous voulez me souhaiter un bon anniversaire c'est le moment, parce que demain il sera peut-être trop tard).
RépondreSupprimerCe que je viens d'écrire illustre parfaitement le syndrôme de la "fête obligatoire". Genre : "Je m'en fous, mais je veux qu'on me la souhaite quand même, sinon je viens plus sur ce blog". Non mais ho j'existe, y a pas que Michaël Jackson qui est né fin août ! En vérité, étant née à la fin de Les Vacances et avant La Rentrée, il n'y a jamais eu moyen de fêter mon anniversaire avec les copains et copines ; car les copains copines de Les Vacances étaient partis et les copains copines de La Rentrée n'étaient pas arrivés (ils étaient sans doute coincés sur l'autoroute, dans les deux sens). Regrets éternels : je ne fêterai jamais mon anniversaire avec Michaël Jackson. Paix à ses bougies de gâteau d'anniversaire.
Ce soir sur Arte, le concert de Queen "Live in Wembley", et de ce grand personnage de la scène musicale : Freddy Mercury ! autrement plus talentueux et créatif à mon avis qu'un Michaël Jackson..
RépondreSupprimer"Il serait temps de criminaliser la mentalité de ces bovins générant tant de fumée et de vent sous le soleil ! "
RépondreSupprimerJe vote pour.
Les ensoleillés sont les assassins des ombragés. Des saints esprits quoi ! Ces halés bedonnants et s'esclaffant sans respect aucun pour le penseur inconnu mériteraient qu'on réactualise la guillotine. Si cette occasion un jour se présente, je serai le premier sur la liste à postuler pour la vocation de bourreau et à titre gratuit de surcroît.Croyez-m'en, j'y mettrai toute mon énergie pour obtenir ce poste.
Vous évoquez la noyade et autres petites mésaventures dans votre textounet (cancers de la peau/ indigestion). Perso, je trouve que les noyades restent trop rares. Tout comme les accidents de la route. On a même pas eut droit cet été a un carambolage de masse sur autoroute. Pas un seul bus du club de second ou troisième âge n'a trouvé refuge dans un précipice, C'est vraiment la déroute. La France part en couille ! Si cela ne tenait qu'à moi, je serai contre la limitation de vitesse durant cette période estivale. Embaucherai des personnes pour qu'ils détournent de nuit, et même suppriment les panneaux stop ou priorité à droite.
De fait à la rentrée, le taux de chômeurs baisserait. Ce serait une bonne nouvelle ça non ??? Les vacanciers deviendraient une denrée rare et les laborieux n'insisteraient plus pour légitimer leurs congés. On entendrait et lirait dans les médias: "Grâce à tous les vacanciers décédés ou gravement malades, des postes restent à pourvoir dans tous les domaines intellectuels et manuels. Les salaires sont en hausse.
Sur ce , je m'en vais réfléchir à un nouveau procédé qui me permettra de me débarrasser des derniers estivants qui volettent autour de moi.Ma bombe anti-moustique a été inefficace ce dernier été. Ils deviennent de plus en plus résistants aux fumigènes ses sans-gènes.
Grand Raphaël Zachari de Izarra
RépondreSupprimerA travers votre textounet, je vous sens exténuer. Hormis deux ou trois intéressantes formulations, le style laisse à désirer. Qui plus est, il y a de petites incohérences.
"S'il était en ville, il cherchait l'ivresse dans la frénésie collective des ragots."
Faux ! il allait en ville pour visiter les hauts lieux de la débauche
"Et s'il partait à la mer, c'était une découverte. Un voyage. Une aventure. Un rêve."
Et blablabla et blablabla. C'est ce qu'il laissait entendre à sa légitime. Le navigateur partait en mer pour pécher la sirène. Il ramenait des murènes pour s'acheter une bonne conscience.
"Autrefois le travailleur en repos, faute de finances à dilapider ou de tentations matérialistes, jardinait paisiblement, méditait, marchait, contemplait le ciel étoilé : il vivait au rythme virgilien des cloches de son village."
Rafou ! Seuls les poètes réagissaient ainsi. Ils ont toujours été une minorité silencieuse. Or, votre textounet parle de la majorité des citoyens. C'est loin d'être des pouet-pouets !
"on paye pour jouir du soleil, de l'eau, du ciel bleu."
Vrai ! le touriste paie pour obtenir des denrées gratuites et ensuite se plaint que les vacances, ça coûtent de l'argent.
"il ne sait plus quoi inventer pour se distraire, remplir ses jours,"
Ce qui prouve la nécessité de travailler plus... Ne fait pas fonction de oisif professionnel qui peut dans la vie...
"Et comme si cela ne suffisait pas à son bonheur de caniche dégénéré"
Vous êtes méchant Rafounet de traiter vos semblables de caniche. Pis d'abord, c'est pas des chiens. C'est des veaux élevés en batterie.
J'aime bien le paragraphe du bronzage: "Mais surtout, en toile de fond obsessionnelle,..... jusqu'à.... "Le bronzage est le salaire (estival) de l'abruti.
"Et au retour des vacances il faut encore se reposer des vacances !"
Vrai de vrai pépère !!! Je suis lessivée...
"ne pas pouvoir se payer un séjour à la mer est considéré comme une injustice sociale."
Les médias nous ont informé: "Cette année, un français sur deux partira en vacances"
Chez les couples le résultat a donné ça
- " Ma bibiche, je t'aime mais c'est la crise. On se reverra dans 3 semaines..."
"Monsieur s'est payé un stage de stress et d'adrénaline (stage de parachutisme) pendant que madame est partie perfectionner sa maîtrise de soi et sa gestion du stress (stage d'arts martiaux)"
RépondreSupprimerT'es une grosse débile toi Eve et Lard Entré, pas vrai ?
Le parachutisme c'est AUSSI une façon d'évacuer le stress et l'adrénaline, pas d'en récupérer. Madame le fait par une méthode féminine - maitrise de soi et gestion - tandis que Monsieur le fait par une méthode masculine - un bon gros saut qui soulage, grosse montée, expulsion, purge.
Faut vraiment être conne ou asexuée pour pas comprendre ça et opposer les deux méthodes.
"Ne pas confondre consommation avec gourmandise"
Bien une phrase de prolo consumériste ça. J'aurais dit : ne pas confondre dégustation avec gourmandise.
"ou l'art de rendre coupable monsieur qui n'y a pas pensé, et de rendre madame furieuse que monsieur n'y ait pas pensé"
Comme c'est original.
Hamdoulillah.
Hamdoulillah,
RépondreSupprimerA vous lire vous n'avez pas eu l'opportunité de manifester votre bestialité durant la période estivale. C'est pas sain pour l'équilibre moral que de ne pas se dépenser physiquement (et inversement) !!! Vous extériorisez votre beuglement à l'arrière d'un écran. C'est couard !
Votre agression verbale - bien que je ne sois pas Eve - dénote une incompétence à s'exprimer par écrit comme un civilisé. En quelques mots: vous ne savez pas écrire.
Pas très littéraire votre choix de "débile" et de "conne" C'est d'un commun et d'un facile ce langage de caniveau !
Repartez vite prendre des cours de courtoisie à la française, petite.
"T'es une grosse débile toi Eve et Lard Entré, pas vrai ?"
RépondreSupprimer??? On se connaît ? Il me semble pourtant que nous n'avons jamais eu l'opportunité d'élever des cochons ensemble, sauf mon respect pour votre religion, cher Bibop alHamdoulillah Shizmaillebêêêhbiiih. Aussi vous prierais-je de bien vouloir me vouvoyer, s'il vous plaît. D'autant que le tutoiement peut induire plus facilement certaines familiarités, voire grossiéretés déplacées. La preuve par la suite :
"Faut vraiment être conne ou asexuée pour pas comprendre ça"
Bah, les insultes, c'est quand on a rien d'autre à dire, et c'est de la merde qui sort de votre bouche au lieu de sortir par l'anus, ce qui ne vous grandit pas vraiment. C'est coincé de l'autre côté ou quoi ? vous avez essayé les dragées Fucka ?
"Le parachutisme c'est AUSSI une façon d'évacuer le stress et l'adrénaline, pas d'en récupérer. Le parachutisme c'est AUSSI une façon d'évacuer le stress et l'adrénaline, pas d'en récupérer. un bon gros saut qui soulage, grosse montée, expulsion, purge."
RépondreSupprimerBen voilà, c'est ça que vous devriez faire pendant les vacances ! En espérant que la toile de votre parachute soit aussi coincée que vous !
Je n'aimerais vraiment pas me retrouver à table avec vous tous .. BANDE DE NAZES !
RépondreSupprimerOn n'invitera pas les autres c'est promis, juste vous et moi.
RépondreSupprimerWAou ! on ne me l'avais jamais faite en plus ! Je salut ton surplus d'imagination ! Et puis, je vois le niveau ... ça vole haut ;)
RépondreSupprimerJ'avais le choix entre 2 nanas.
RépondreSupprimerJ'ai opté pour le plus représentatif de votre commentaire, Naze toute seule. Vous devriez m'être reconnaissante de n'avoir pas méprisé votre niveau de cul-de-basse-fosse.
Au plaisir
" Madame le fait par une méthode féminine - maîtrise de soi et gestion - tandis que Monsieur le fait par une méthode masculine - un bon gros saut qui soulage, grosse montée, expulsion, purge. "
RépondreSupprimerQue l'homme et la femme soient complémentaires, il n'y a aucun doute là-dessus. La nature aura toujours besoin d'un mâle et d'une femelle pour la reproduction.Même si la science s'en mêle de plus en plus. Mais que l'on fasse circuler des idées d'un âge ancestral - madame opte pour un sport cérébral, Monsieur pour une activité physique- à de quoi faire lever de leur tombe toutes les féministes qui ont sacrifié leur vie, se sont battues pour l'indépendance ,l'égalité, le respect et la liberté de la femme actuelle.
C'est à cause de raisonnement aussi rétrograde que le votre Adam Haut, que le racisme , sexisme contre machisme, a encore de beaux jours devant lui.
"Faut vraiment être conne ou asexuée pour pas comprendre ça et opposer les deux méthodes."
Faut vraiment être arriérée mentalement et soumise physiquement pour faire circuler ses clichés qui trouvent leur source dans une religiosité de bas étage.
Malgré cela j'honore votre innocence d'être disposé à l'obéissance Adam Haut.
Demain j'enl-Eve le Haut !
RépondreSupprimerAdam Longue
" vit, dort, copule, boit, excrète, dégueule"
RépondreSupprimerJe supprimerai le verbe "copuler" car je pense que la seule dé-marche intelligente que fait le vacancier est justement de faire l'amour. Qu'il sache le faire avec science ou comme un néophyte du reste.
Pendant que le mâle et la femelle s'accouplent, ils ne pensent à rien d'autre. Ils ne polluent pas la planète avec leur auto ou leurs innombrables matériel électrique, ne vénèrent pas Dieu dans leur subconscient ou consciemment, donc ne font pas circuler cette légende non ou mal comprise, ne nous serinent pas de leurs inepties utopiques pour tel ou tel parti politique, ne dépensent pas leur argent sale. Et surtout, au sortir de leurs borborygmes, ils n'utilisent pas la parole, cette arme redoutable et initiale de guerre.
Faut il encore pour que cet acte -la copulation- reste du domaine du splendide, du miraculeux, du prodigieux, de l'utile, le réaliser exclusivement pour le plaisir ses sens. J'entends par là, que les protagonistes doivent se munir de préservatif pour l'homme, pilule, stérilet, implant, pour la femme. Non seulement en protection du Sida, mais pour éviter principalement que Madame lègue à la planète un malheureux innocent. Une petite et jolie petite tête blonde de plus.
Bébé étant appelé a devenir un adulte travailleur et vacancier, un pollueur de la sainte pensée et du sain acte, ce n'est pas lui faire un cadeau que de l'enfanter dans un monde qui croit toujours que l'animal à deux pattes sait et peut évoluer.
Conclusion:
Les vacances des travailleurs devraient être consacrées à l'accouplement sans enfantement.
Jean lève le bât,
RépondreSupprimerDonc cela ne sert à rien de copuler, au final !
Laissons l'espèce humaine s'éteindre en jouissant !
La terre ne s'en portera que mieux !
Signé :
L'Hyper-malthusianiste de ces dames.
Une citation pour illustrer !
"Il faut copuler pour vivre et non vivre pour copuler" (Jean de la femme fontaine)
"Laissons l'espèce humaine s'éteindre en jouissant !"
RépondreSupprimerRIRE !!!
C'est tout à fait ça !!! Il ne peut y avoir de plus noble action que d'exterminer la meurtrière, minable et néfaste race humaine, en copulant. Si je me trompe - l'erreur est divine- qu'on m'avance des arguments convaincants.
Au fait, je sais à quoi ressemble l'enfer (le vrai, celui de la bible). J'ai encore eu un rêve prémonitoire ou un inconscient "délirant"
Y'a-t'il un docteur sur ce blog pour diagnostiquer ma énième maladie mentale ? Je pense que la source de mon mal provient des vacanciers qui ont envahi mon territoire tout l'été.
Et que Rafounet en rajoute une couche avec son textounet sur les vacanciers n'a servi qu'à dévisser un des vis déjà visser dans le mauvais sens.
L'enfer, c'est les autres. Et les autres, c'est moi.
Bonjour chez vous